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Auteur | Message |
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Dom Azhar god doesn’t want you to be happy he wants you to be strong
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| Sujet: [recherche de liens] Ven 19 Mai - 14:43 | |
| (recherche de liens) links - - - - - - - - - - - - - - - - -
Que vous soyez un membre validé ou non ou même encore un petit invité, n'hésitez pas à poster dans ce sujet si vous recherchez des liens. Les banques de liens se trouvent : ici , ici ainsi que dans les scénarios. Vous trouverez peut-être votre bonheur. Ce sujet est également un endroit pour les ébauches de personnage, membres comme invités se feront un plaisir de vous répondre dans les plus brefs délais afin de trouver votre bonheur.
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| | | Seth Reinhart
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| Sujet: Re: [recherche de liens] Dim 21 Mai - 15:05 | |
| si cela intéresse certains, je recherche la jumelle de Seth.. je n'ai pas encore défini grand chose, j'avais pensé à les faire être enfants du chef de la police en ville il faudrait une brune de préférence, voir une blonde comme Nicola Peltz, si vous voyez le genre ils ont tous les deux vingt-neuf ans.. puis le meilleur ami de seth, j'ai quelques idées concernant un brocode non-respecté et des petites sœurs impliquées |
| | | Reese Reinhart
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| | | | Seth Reinhart
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| Sujet: Re: [recherche de liens] Dim 21 Mai - 15:12 | |
| ohh, ça lily totalement convenir j'ai édité entre temps, peut-être qu'on peut les faire être enfants du chef de police de la ville, ça te dis ? j'aime le caractère, je te mpotte |
| | | Reese Reinhart
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| Sujet: Re: [recherche de liens] Dim 21 Mai - 15:14 | |
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| | | Belle Abbott history has its eyes on you
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| Sujet: Re: [recherche de liens] Dim 21 Mai - 15:30 | |
| Je cherche le meilleur ami de ma petite Belle. Un vrai rayon de soleil, toujours là pour elle, pour lui remonter le moral. Mais qui craque pour elle sans jamais oser le lui dire. Si ça intéresse quelqu'un qui passe par ici. Promis je lui briserais pas trop le coeur. - extrait de ma fiche a écrit:
- THIRTEEN - Elle a rencontré son meilleur ami un peu après avoir obtenu son diplôme. C'est un garçon assez simple, mais vraiment très jovial. C'est lui qui lui a permis de passer au delà des soucis qu'elle avait avec sa famille et son passé. Il l'aide à avancer, et il ne passe pas un jour sans qu'ils ne s'appellent ou ne se voient. Ce qu'elle ne sait pas, c'est que le jeune homme en pince pour elle depuis pas mal de temps maintenant, mais n'a jamais osé lui en parler.
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| | | Reese Reinhart
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| Sujet: Re: [recherche de liens] Dim 21 Mai - 16:07 | |
| je suis également à la recherche du meilleur ami d'enfance de reese qu'elle aurait perdu de vue pendant deux ans. mais depuis son retour en ville il y a quelques mois, ils ont renoué ce lien étroit qui les avait lié des années durant auparavant. ils se sont toujours interdit une relation plus qu'amicale, parce que des évènements venaient aux mauvais moments, ou tout simplement parce qu'ils se voyaient au départ comme frère et sœur de cœur. mais aujourd'hui, tout est différent et il ne leur a pas fallu longtemps avant de céder. mais il y a des conséquences lorsqu'on laisse parler les sentiments sans réfléchir. reese vient de comprendre qu'elle est enceinte et ne sait pas comment réagir à cette nouvelle, elle qui n'a jamais rêvé d'être mère. elle a également peur de la réaction de son meilleur ami. |
| | | Seth Reinhart
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| Sujet: Re: [recherche de liens] Dim 21 Mai - 20:21 | |
| maj recherche; je recherche deux liens distincts : le meilleur ami de Seth, d'une trentaine d'années environ (Seth en a 29) et sa petite-sœur. Seth et X se connaissent depuis le lycée, alors que Seth était mis de côté à cause du travail de son père (chef de police de la ville), X était le gamin mis de côté à cause de son propre père à la mauvaise réputation (suspicion de crime/deal..), ils sont devenus tous les deux des acolytes, des partner in crime et leur amitié n'a pas changé d'un fil depuis ces années, si ce n'est que pour se renforcer. Or, Seth est fortement attiré par la petite-sœur de celui-ci, une petite-sœur qui contrairement à son frère, a décidé depuis deux ans maintenant, d'entrer dans des affaires illégales. Seulement pour son bien personnel, elle est voleuse. Une voleuse hors pair que la police de Tybee Island essaie de mettre la main dessus depuis un certain temps. Elle utilise des perruques pour ses vols, elle ne vole qu'aux plus riches et elle est très agile, adroite. Seth s'est démené pour avoir l'affaire, sachant très bien la grosse promotion à la clé. Mais c'était sans compter le charme s'opérant entre les deux. Seth, sans savoir que la femme qu'il chassait dans les rues la nuit, était celle qui lui faisait tourner la tête en journée, commença doucement, contre son gré, à tomber amoureux d'elle. Coupable de s’amouracher de la petite-sœur de son meilleur ami, de laisser son regard traîner sur elle un peu trop longtemps, d'aimer être en sa présence et de lui voler un baiser au détour d'un couloir, il ne comprit pas une seule fois qu'elle était cette femme, cette affaire qui l'obsédait au travail. Alors que leur relation débute depuis trois semaines, il se pourrait qu'au détour d'une rue lors d'une course poursuite, il ait enfin pu discerner les traits du visage de la criminelle. Mais il ne veut pas y croire, il se persuade que ce n'est pas Y. Alors qu'au même moment, ils essaient de cacher tous les deux leur relation au grand-frère/meilleur ami, ils ne savent pas très bien non plus où ils en sont, ni où ils vont. Elle joue avec le feu, elle le sait et elle ne sait pas quoi faire. (camila mendes, zoey deutch, alexandra daddario, nicola peltz, ivana baquero..) |
| | | Hart Ruskin
▪ MEMORIES : 19
| Sujet: Re: [recherche de liens] Dim 21 Mai - 21:10 | |
| Hi. Pour ma part, je cherche de la famille. Aucun détail n'est encore fixé, mais je voyais le type de famille traditionnelle, si ancrée dans la région qu'elle fait partie totale du décor. Je vois les tartes offertes aux voisins et les dîners dominicaux coutumiers. Probablement un peu de drama au sein de la fratrie mais rien de trop méchant. N'hésitez pas si ça vous inspire quelque chose! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: [recherche de liens] Lun 22 Mai - 15:52 | |
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| | | Ever Azhar
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| Sujet: Re: [recherche de liens] Lun 22 Mai - 15:58 | |
| moi j'veux bien être dans la bande d'amis bienvenue sinon |
| | | Cece Chapman
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| Sujet: Re: [recherche de liens] Lun 22 Mai - 16:32 | |
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| | | Ever Azhar
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| Sujet: Re: [recherche de liens] Lun 22 Mai - 16:37 | |
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| | | Cece Chapman
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| | | | Hart Ruskin
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| Sujet: Re: [recherche de liens] Lun 22 Mai - 17:13 | |
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| | | Ever Azhar
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| Sujet: Re: [recherche de liens] Lun 22 Mai - 17:14 | |
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| | | lolise. Invité
| Sujet: Re: [recherche de liens] Lun 22 Mai - 23:16 | |
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heeey ! ce forum. je l'ai tellement aimé lorsqu'il a ouvert pour la première fois, que je ne peux résister à la tentation aujourd'hui. mais, j'aimerais tout de même quelques petits liens avant de commencer ma petite fifiche ainsi que mon inscription. alors, j'imaginais une femme d'une trentaine d'années sous les traits d'hayley atwell, qui est juste mon petit bébé en ce moment. je l'imaginais bien mère de jumeaux, un garçon et une fille, adolescents, qu'elle aurait eu assez jeune. tous les trois auraient beaucoup voyages car mon personnage était militaire avant de tout arrêter, voyant que ses enfants souffraient de ses absences. elle travail aujourd'hui dans le droit ou la justice, je ne sais pas encore. je recherche donc une petite famille, avec des frères et soeurs et pourquoi pas ses enfants ? des amis d'enfance, des collègues de travail, et pourquoi pas un petit lien love ?
voilà, bisous sur vos fesses.
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| | | Faye Delaney
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| Sujet: Re: [recherche de liens] Lun 22 Mai - 23:44 | |
| bonjour petit invité, je recherche plein de petits liens pour faye dont trois qui sont essentiels et déjà un peu définis si jamais ça pouvait intéresser des invités hésitants dans la mesure du possible, certaines choses sont sans doute modifiables (mais pas beaucoup vu que mon histoire est assez détaillée ) il suffit d'en discuter, j'adore les mps, alors n'hésitez pas. les avatars sont ultra libres tant qu'il n'y a pas plus de quatre ans d'écart entre le personnage et l'âge de l'acteur/mannequin qui l'incarne sinon ça me stresse et les prénoms sont négociables, sauf celui de Liam qui est bien trop cité dans ma fiche pour que j'ai le courage de tout remplacer.
SON FRERE (LIAM) : Liam est un gamin issu du Queens qui a eu le malheur de naître dans une famille déviante. Le père ? Violent. Déviant. Malade. Une maladie sournoise, insidieuse et inconnue sur laquelle personne n'a jamais su (pu?) mettre de mots. Invisible, impalpable, elle a pourtant toujours été là, puisque Papa n'a jamais consulté. Papa c'est ce fantôme en pyjama qui hantait les murs, de l'après-midi jusqu'à tard dans la nuit, dans ses mensonges éhontés, dans le feu de sa maladie. Sans doute une mythomanie aigüe, un début de schizophrénie, un soupçon de paranoïa... Un homme faussement fragile, supposément toujours fatigué, trop pour se lever le matin, trop aussi pour participer aux tâches ménagères juste bonnes pour les femelles mais pas assez pour rester tranquille ou se montrer clément, lorsqu'il se sentait irrité, agacé, dépassé. Et dépassé, il l'était toujours. Il suffisait d'un rien pour le mettre dans une colère noire, qui déployait ses ailes pour mieux se refermer sur Faye (qu'elle, toujours elle) jusqu'à l'étouffer telle une cage trop étroite. Elle en a versé, des larmes, elle en a offert, des câlins à un petit frère trop jeune et qui ne comprenait pas, elle en a pris des coups, pour lui, pour le préserver, le protéger et finalement, les cicatrices, les bleus et le sang, on s'y habitue. Ce pour quoi personne n'est réellement paré c'est l'autre violence. Celle qui n'a ni forme, ni nom, le constant déni, les tortures psychologiques. On ne se remet jamais tout à fait du manque d'amour, de considération. Et ça, Liam aussi l'a subi. L'enfant invisible. C'est ce qu'il était. Celui qu'on ne regardait pas. Il n'a jamais su pourquoi, même s'il s'en doute : il n'est pas de son père et c'est tant mieux. Ce serait un soulagement à l'idée d'avoir commis un meurtre, oui, mais pas un parricide, ce mot odieux qui terrorise. Loin de subir de plein fouet, comme Faye, il s'est préservé en s'éloignant, en recréant pour lui une nouvelle cellule familiale, celle des amis. Liam fut l'enfant indépendant, turbulent mais bien vivant et personne n'aurait cru qu'il serait le premier à flancher, à remplacer la tyrannie du père par la sienne. Mais Liam a tué. En-dehors de cette famille qui le caractérise (surtout depuis qu'il a commis l'irréparable), Liam est un artiste, un manuel, un expansif, qui ressent au centuple et jette ce qu'il ne sait exprimer sur des toiles vierges. + Il plaît aux femmes (ou aux hommes ou aux deux selon l'orientation que vous désirez), il est charmant et charmeur, avec ses allures de bad boy édulcoré et sa fougue de chiot turbulent. + Il est fort, c'est l'épaule stable contre laquelle se reposer, l'homme qui prend soin de ses proches et ne laisse pas tomber ses responsabilités même s'il aime la marginalité, l'ivresse, le danger. + Liam est malade. C'est la raison pour laquelle on l'a libéré de prison pour bonne conduite après neuf ans de taule. Il ne l'a avoué à personne. D'ailleurs, il refuse de se soigner. Lui, tout ce qu'il veut, c'est vivre. Vivre à en s'en exploser le coeur pour rattraper ses années perdues, il veut brûler son existence par les deux bouts jusqu'à se consumer pour ne pas laisser le cancer qui le gangrène gagner la bataille. + Faye, c'est toute la vie de Liam, il l'aime, il a voulu la protéger, la défendre, la venger aussi et puis lui offrir une autre vie, lui donner mieux sauf qu'il a échoué. Il a tout fait pour elle, jusqu'à missionner un type un peu louche pour veiller sur elle jusqu'à ce qu'il puisse le faire lui-même. Mais il ne réalise pas qu'à trop l'aider en sous-marin, en secret, en dissimulant des choses essentielles (la présence de Jake dans sa vie, son cancer), il risque de la perdre. Pour l'instant, leur relation est idyllique : ils sont sur un nuage. Celui des retrouvailles, du manque enfin comblé et de la fin de la captivité (pour lui). Mais il y aura du drama, bien sûr, car ils sont tous les deux brisés : Liam ignore à quel point la Syrie a marqué Faye jusqu'à l'âme, et elle sous-estime l'impact d'une lourde peine de prison sur le caractère autrefois affable de son frère. Mais rien ne saura les séparer trop longtemps parce qu'ils sont au-dessus des étoiles, tu peux pas test.
- détails supplémentaires sur Liam:
âge: 24/25 ans, au choix. Si vous préférez (pour une question d'avatar) vous pouvez en faire le grand frère de Faye et non plus le petit, et lui donner entre 29 et 33 ans. Je modifierais ma fiche en conséquence, ça ne me dérange pas du tout. caractère: Liam a toujours été le soleil quand Faye était la lune, deux astres complémentaires. Avant la prison, Liam fut ce gosse dont on ne peut que tomber amoureux. Plus grand et costaud que le reste de la famille, doté d'un large sourire espiègle reconnaissable entre mille avec sa dent vrillée et de grands yeux d'un vert vif, impossible de ne pas l'aimer, irrémédiablement. Il était le seul à savoir décrocher à sa soeur maltraitée de grands éclats de rire qui tonnaient comme l'orage et à la faire se sentir mieux rien qu'en l'appelant de ses "Hey Faye !!!" rauques, bruyants, désespérément brusques. Là où Faye était toutes en nuances, teintée de beiges et de silences, de sanglots silencieux et de rêves chimériques, Liam était une tornade, un arc-en-ciel, le gosse qui faisait fondre n'importe qui et n'écoutait... personne. Toutes les interdictions qu'on infligeaient à Faye lui passaient au-dessus de la tête et il disparaissait puis surgissait quand bon lui semblait. Malgré ses airs fripons, Liam était un brave gosse, profondément gentil et aimant. Il était simplement plus fort ou plus indifférent, incapable de laisser les ténèbres de l'appartement l'envahir pour le rendre, lui aussi, terne et silencieux, triste et conciliant. Liam n'a jamais été conciliant. Son mot préféré ? Non. Il répétait non constamment, pour tout, pour rien, et ne disait oui que lorsque la question posée incitait à un non. Jamais d'accord plus par pitrerie que réel principe, il était de ces gosses infernaux dont on ne sait que faire, puis de ces adolescents qui échappent à tout contrôle. Sauf au sien. Faye savait toujours où était son frère et lui demandait si peu qu'aucune de ses requêtes ne se voyait mises par un KO par ses "non" irrévocables de sa voix de ténor fier de ses bêtises. Il est de ces hommes charismatiques, les leaders qui entraînent dans leur sillage, les créatifs qui ont du mal à rentrer dans le moule. Mais derrière son apparence affable et cette faculté à se faire aimer, Liam cache en lui une colère, une certaine violence. Elle a grimpé en lui jusqu'à ce qu'il ne sache plus la contrôler, jusqu'à tuer le père pour la sauver, elle, sa soeur qu'il aime plus que tout. Liam n'est pas un monstre, c'est seulement un homme qui voulait faire le bien, même si ça signifiait semer la mort. Il a un sens aigu de la justice, de la droiture, c'est le type qui rêvait de devenir reporter et de se barrer suturer les plaies de ce monde. La prison ne l'a pas brisé. Dorénavant, je le vois plus renfermé, moins loquace mais toujours rebelle, toujours passionné et convaincu qu'il a fait ce qu'il fallait. Son seul remord est d'avoir échoué à s'enfuir avec Faye pour lui offrir une vie meilleur. Son seul regret est de pourrir neuf ans en taule, au milieu de sales types, de mecs méprisables et dangereux où il doit faire montre de toute sa roublardise pour s'en sortir sans trop d'hématomes. Liam, il est déterminé, ingénieux, goguenard. Il prend la vie à la légère parce qu'il sait, mieux que personne, qu'il n'en sortira pas vivant : il souffre d'un cancer. Et il a perdu neuf ans de sa vie. Alors depuis sa sortie, Liam est désinvolte, frivole, badin, séducteur, irrévérencieux, menteur, inconscient, insouciant, meurtri. Il est protecteur mais refuse de s'attacher, conscient que son existence ne tient qu'à un fil.
LE PETIT AMI EN PERDITION (RHYS) : Rhys est le petit ami de Faye depuis presque quatre ans. Engagé, humaniste, le fils de bonne famille a abandonné une voie royale toute tracée après des études prestigieuses pour s'engager dans l'humanitaire (il peut être médecin, chargé de projets, casque bleu de l'onu ...) et rendre un peu ce que la vie lui avait offert jusque là. Il découvre l'horreur en Syrie et la rencontre, elle, lueur d'espoir parmi les décombres et la mort : Faye. S'en suit une histoire passionnelle et électrique, totale et facile : elle tombe sous le sens. Il porte en lui un peu d'elle, elle promène en son sein une partie de lui. Habitué aux courbettes de son monde et aux relations avec les filles de son milieu, distantes, hautaines, royales, Rhys découvre une forme d'amour inconnue jusqu'alors. Un amour qui renforce son engagement et lui donne des ailes. Jusqu'à ce qu'elles soient coupées brutalement par l'obscurantisme et l'horreur. Pris en otage par un groupuscule terroriste durant près de quatre mois, ils sont séparés et ne se retrouvent que de façon fugace, pour être les vedettes forcées de films de propagande à gerber et de menaces de mort de moins en moins implicites. Rhys souffre. Il souffre dans sa chair, il souffre dans son coeur et son âme, il se flagelle dès qu'il découvre une Faye affaiblie, marquée, il s'enferme dans une culpabilité acide et des regrets qui le détruisent plus que ne le font ses tortionnaires. Finalement libérés en catimini après que ses parents aient payé la rançon que refusait d'offrir les Etats-Unis (ce qui provoqua un tollé au niveau national), le couple trouve refuge à Tybee Island, chez les parents de Rhys et envisagent de se reconstruire. Seulement, ils choisissent des chemins opposés depuis un an : lui s'engage encore plus, plus férocement, avec une abnégation sans pareille quand Faye, plus fragile, trébuche et choisit de tout abandonner pour se préserver. Ils s'éloignent, indubitablement. Rhys ne la regarde plus, ne la touche que très rarement, au coeur de la nuit, quand l'obscurité lui offre des chimères bienvenues d'un avant idyllique mort en Syrie. Faye pense qu'il la méprise mais c'est la culpabilité qui le ronge en réalité. Il était sur le terrain depuis plus longtemps qu'elle, il aurait dû avoir davantage de jugeote, ne pas s'arrêter, ne pas leur offrir l'opportunité de les enlever. Entre eux, la communication est compliquée, glaciale, piquante. Ils s'aiment mais se heurtent, ne se comprennent plus et se font plus de mal que de bien. Et pourtant, ils sont unis à jamais par quelque chose de fort, intense : un traumatisme. L'autre est le seul à qui en parler, à qui avouer ce qui fait mal, qui peut suturer les plaies...
- point de vue de Faye sur Rhys:
(05.) Entre un diplôme prestigieux et des photos sensibles, émouvantes, Faye n'eut pas grand mal à se faire embaucher par une célèbre agence de presse, tout en écrivant également des articles de fond, d'analyse, de prise de position, pour un grand journal américaine. Plongée dans l'enfer du conflit syrien pendant trois ans, son idéalisme ébranlé s'est suturé derrière une ambition affirmée. Ne pas se cantonner à un rôle de témoin passif, à cette presse charognarde qu'elle déteste mais aider. Tendre une main, offrir une voix, une présence, de l'amour, rendre un brin de dignité à ceux qui en sont privés. Sa spécialité ? La lie de ce monde. Elle couvre ce que personne d'autre n'a envie de couvrir, elle dévoile ce que le monde souhaite oublier, elle offre un visage et une voix à ceux qui en manquent. Son truc, ce sont les conflits, les guerres, les catastrophes, tout ce qui fait mal, qui sent le sang et la détresse. Tout ce qu'on tait aussi, parfois. Sa première affectation (très courte, une sorte de test) l'a fortement ébranlée : Faye a été témoin d'un massacre dans la corne de l'Afrique qu'aucun média n'a jamais relayé, aucun. Elle a pourtant rédigé une dépêche qui n'a intéressé personne dans une région aussi reculée, avec comme victimes les membres d'une tribu quasi-inconnue. Faye a vu des mômes squelettiques se faire charcuter à la machette et l'Occident s'est contenté de fermer les yeux. Il ne lui en a pas fallu plus pour trouver sa vocation et en être certaine. Ce n'est pas rose, ce n'est pas joyeux, ce n'est pas gai. Mais c'est la vie et se voiler la face, c'est trop facile. Dévouée à son métier, Faye ne supporte pas l'étroitesse d'esprit et la mesquinerie d'une bourgeoisie enlisée dans son petit confort à qui elle a envie d'hurler, à qui elle rêve d'expliquer crûment ce que la guerre signifie, comment elle tranche, charcute, explose, éviscère, éventre, égorge, tue, assassine, estropie, handicape, détruit tout des chairs et des âmes. La crise des migrants la tue, le terrorisme la flingue, elle vomit la guerre en Syrie et toutes ces vies volées, le Moyen-Orient sacrifié et ces pays pauvres, en détresse, à l'autre bout du globe que personne n'évoque jamais. Être reporter, ce n'est pas facile. C'est dur pour les nerfs, c'est dur pour le coeur, pour l'âme mais aussi pour les autres, qui voient Faye doucement s'éloigner d'eux, irrémédiablement, dans les abysses ténébreuses qu'il est préférable de ne jamais rejoindre. Personne ne peut réaliser l'étendue des horreurs quotidiennes dont elle a été est témoin, et combien cela marque de façon indélébile. Mais là-bas, elle l'a trouvé, lui. Son phare, son amour, son âme soeur, son tout. Rhys. Un homme de bonne famille perdu dans les quartiers rebelles bombardés, occupés à soigner, à nourrir, à aider, à aimer, tous ces gosses sacrifiés pour une cause qui leur échappe. Faye est tombée amoureuse comme on tombe d'une chaise. Brutalement. Douloureusement. Rhys était tout ce qu'elle avait toujours cherché, un homme qui partage ses convictions, passionné et obstiné, une version achevée d'elle-même, une extension de son propre être qui se aurait vécu une enfance moins douloureuse. Il est elle, mais en mieux. Il respire cette assurance qui lui fait défaut, cette autorité qui fait déplacer les montagne et supprimer les barrages et les difficultés. Rhys est un magicien qui rend le monde meilleur, qui vous élève par sa seule présence et elle, elle a été touchée par le divin. Ils se sont aimés au milieu des bombes et des morts, aimés envers et contre tous. Aimés dans le sang, les cendres, les pleurs et les rires aussi, parfois, d'une population qui refuse de capituler. Ils se sont aimés d'une façon branlante et pourtant absolue. Ils ont résisté à tout jusqu'à ce que l'horreur les frappe en leur sein.
(06). Tout est flou dans la tête de Faye. Flou et strident, au goût métallique du sang. Il y a eu cet accident au bord d'une route désertée près de Raqqa. Une femme désemparée et des gamins en sang. Ils ont voulu s'arrêter, naturellement. On leur a déconseillé, le chauffeur, l'interprète, tous ont plaidé pour foncer. Cela pouvait être un piège, eux, ils savaient. Mais ils n'ont rien entendu, Faye et Rhys, aveuglés par leurs coeurs lourds d'une guerre atroce et cette volonté inébranlable de venir en aide, de tendre une main amie, de chasser la tragédie derrière un voile d'espoir. La voiture s'est arrêtée et les coups de feu ont retenti, venant d'hommes sortis de nulle part, vêtus de noir, hurlant des insanités que Faye commençait à comprendre. Tout est noir, après. Elle ne se souvient que du bruit des balles qui frôlent et déchirent la tôle comme les corps. Elle revoit dans un flash la tête à moitié arrachée de cet interprète qui fut un ami durant deux ans et sent encore le poids de la culpabilité, acide, enserrer son coeur. Puis c'est le vide le plus complet. Ils émergent dans une salle sombre, sales et courbaturés. Mais ensemble. C'est ce qui compte, c'est ce qui les pousse à résister à tout. Leurs mains liées, leurs mots susurrés d'une gorge sèche. Mais ça ne dure pas. Les bourreaux les séparent et ils ne se retrouvent que de façon fugace, pour ces orchestrations macabres. Les films de propagande montrant les prisonniers occidentaux, les revendications toujours plus nombreuses, les menaces de mort, les coups, les privations. La plupart sont des gosses qui jouent à (se) faire peur, des gamins qui portent des armes et distribuent la mort comme d'autres des sourires. L'enfer a duré quatre mois, mais ça aurait pu être quatre ans tant la notion même de temps perd tout son sens dans ces geôles sordides dévolues aux fanatiques. Au début, Faye a essayé de les raisonner, mais on ne peut raisonner des monstres. Elle a tenté d'expliquer qu'elle était venue ici pour aider, qu'elle n'approuvait pas la politique menée par son pays, qu'elle venait justement montrer le sort d'une population civile piégée entre deux feux mortels, mais rien n'y a fait. Et les Etats-Unis sont restés sourds aux appels de leurs ravisseurs : ils ne négocient pas avec les terroristes. Faye n'a pas eu peur de sa propre mort, de sa fin inéluctable, c'est l'idée même de perdre Rhys qui la tuait à petit feu. Il y a eu cette fois, marquée au fer rouge. Une énième vidéo de mise en scène. Lui à genoux dans sa combinaison orange, elle en spectatrice impuissante devant des fanatiques galvanisés. Ils ont menacé une dernière fois de les tuer. De le tuer, lui l'enfant prodige, le fils de bonne famille. Rhys a été arrosé d'essence et Faye se rappelle avoir hurlé comme un animal blessé, convaincue qu'il allait mourir de la plus atroce des façons. Sous ses yeux. Elle a crié jusqu'à en avoir les cordes vocales éraillées, elle a crié jusqu'à ce que les coups lui fassent perdre connaissance. Elle a crié encore à son réveil, sans savoir si Rhys était mort ou vivant, présumant le pire. Mais c'est là qu'ils ont été conduits à la frontière turque, sans explication. Puis escortés jusqu'en Grèce par des miliciens intimidants pour y rencontrer en toute discrétion l'Ambassadeur américain à Athènes. La famille de Rhys avait payé. Il ne cautionnait pas, cet argent servait à détruire et tuer mais il comprenait. Ils ont été accueillis aux Etats-Unis, pris en charge par un psychiatre de l'armée américaine avant d'abandonner le terrain pour le cocon de Tybee Island. Dans la famille de Rhys, Faye a tenté de se reconstruire. De les reconstruire. Elle y est parvenue, partiellement, en laissant derrière elle tout ce qu'elle fut comme une mue trop douloureuse. Néanmoins, elle l'a perdu, lui, dans la bataille. Cela fait un an qu'ils sont revenus et huit mois que leur relation est au point mort car leurs reconstructions respectives ont pris des chemins divergents. Faye, la fragile Faye, souffre d'une forme assez sévère de stress post-traumatique et pour guérir, pour combattre cette peur qui la dévore, elle s'est séparée de sa vocation qui l'a trahie et s'est dirigée dans un domaine plus confortable. Un domaine qui dit le beau et les bons sentiments : le mariage. Elle ferme les yeux, elle s'oublie là où Rhys, si digne, a la force de se remettre, de continuer son combat. Il est engagé dans une association de victimes du terrorisme et aide les familles de ceux qui n'ont pas eu leur chance tout en travaillant à mi-temps au siège de l'ONU. Si la famille de son petit ami est un soutien constant, indéfectible, Rhys ne peut plus croiser son regard. Faye croit (à tort) qu'il la méprise mais la réalité est plus compliquée. Tous deux se rappellent un traumatisme douloureux qui fait mal et qui les a brisés, eux et leur couple. Elle souffre de son indifférence de façade, elle souffre de son absence de gestes tendres, de baisers, de regards : Rhys ne la touche plus, sauf dans de rares moments précieux, souvent en pleine nuit, où ils se raccrochent l'un à l'autre comme si rien d'autre ne comptait même si au matin, ils réalisent que ce cauchemar qui paraissait si faux dans le creux de l'obscurité est leur réalité. Malgré la déliquescence d'un amour jusqu'à là invincible, la confusion des sentiments demeure car un lien inviolable les lie à jamais : ils ont vécu la même chose. Seul l'autre est en mesure d'écouter, de comprendre sans un mot, seul l'autre peut apaiser car il connaît cette horreur décrite, il ne peut pas être choqué, blessé, pris d'une pitié qui fait plus mal encore que le reste. Malgré le naufrage de leur si bel amour, ils restent un phare pris dans la tempête d'une relation interdépendante en demi-teinte. Quelque part entre une tendresse infinie, des relents de désir et de culpabilité, de regrets et de souffrance, et parfois, un profond dégoût de l'autre jusqu'à la colère, la haine.
L'AMI PRODIGIEUX (JAKE) : un homme avec qui son frère se serait lié d'amitié en prison et qui serait sorti y a quelques mois/année (une année grand max), genre avant le frère de Faye, celui-ci l'aurait d'ailleurs missionné pour veiller sur sa soeur. Bien sûr, le but est que c'est deux là se plaisent. Faye, c'est cette fille qu'il a toujours eu l'impression de connaître sans même ne l'avoir jamais rencontrée, car elle était partout, en filigrane, dans les mots de Liam en prison. Et puis c'est une promesse, une promesse dans le vent finalement tenue : celle de veiller sur elle. Pour Liam qui ne le peut pas. Si Jake peine à faire confiance, à se livrer, s'il a gardé longtemps ses distances, l'observant de loin, avec elle ce fut l'évidence et au fil des semaines, une amitié très forte s'est mis à lier les deux âmes brisées, rapprochées par la mélodie entêtante de la détresse. Sans le savoir, sans le chercher, Jake est tombé pour elle. Lui qui plaît tant aux femmes, qui les consomme comme autant de placebos, éprouve pour la seule qu'il ne cherche pas à séduire quelque chose qui dépasse l'entendement. Et Faye, en silence, à sa manière timorée, éprouve elle aussi cette forme d'attraction brute, illicite. Car Jake le sait : elle est en couple. Elle est en couple avec un homme formidable qu'il est certain de ne jamais égaler et surtout, il n'a rien à lui offrir, rien pour apaiser son âme brisée. Pourtant, dernièrement, ils ont fauté, échangeant un baiser, une étreinte hors du temps avant que la réalité ne les frappe et ne les brûle. Jake, il ne réalise pas qu'il prend de l'importance dans son coeur, dans sa vie, à se montrer aussi bienveillant, à l'écoute, tendre, toutes ces qualités qui manquent à Faye alors que sa relation amoureuse se délite depuis près d'un an. Tout ce qu'il voit, lui, c'est qu'il n'a pas le droit de l'aimer. Pas parce qu'elle est prise, ces considérations ne l'effleurent qu'à peine, mais parce qu'il n'est pas censé veiller sur elle de cette façon là, parce que leur rencontre, leur rapprochement, est un mensonge éhonté. Alors Jake, il reprend ses cartes, il s'éloigne, conserve le silence depuis ce baiser et laisse Faye se dépêtrer de sa culpabilité, de son incompréhension. Elle pense avoir gâché leur amitié, ignorant que la gêne de Jake est ailleurs. Bon c'est un peu le gros drama à venir parce qu'il n'est pas censé jouir de ce genre de relation avec Faye et elle, elle ignore que leur rencontre et leur amitié n'est pas naturelle et n'est née que grâce à son frère, ce qui la fera se sentir (à raison) manipulée. Donc sentiments à la clef, relation impossible parce que le frère viendra s'insérer là-dedans = #dramaforlife D'ailleurs pour le lien avec Liam, j'avais rédigé ceci : Ils se sont rencontrés en prison, après s'être apprivoisés de longs mois, en silence. Ils se ressemblent dans leur entêtement, dans leur détermination à ne pas se laisser avoir, se laisser briser, baiser, et aussi dans le mépris qu'ils accordent aux autres. La taule, l'enfermement, ça rapproche surtout quand on partage une cellule et ces deux-là sont rapidement devenus amis. Presque frère, liés par la mort et les barreaux. Liam est moins torturé, Jake est plus sombre mais ils se complètent, se confient. Liam surtout. Il parle de Faye, souvent, jusqu'à ce que Jake ait lui aussi l'impression de la connaître alors qu'il n'en est rien. Lui n'annonce jamais la raison de son incarcération, il conserve farouchement le silence quand son ami tente d'en apprendre plus et c'est tout. Quand Jake est libéré, il y a x temps (un an max, pas plus car avant Faye était en Syrie), sans attaches, il accepte la demande de son ami : veiller sur sa soeur, de loin. En prendre soin. L'approcher, la protéger, sans jamais lui avouer que l'ordre vient de lui. Mais Jake est dorénavant prisonnier de son rôle, acculé entre sa loyauté sans failles envers Liam et ses sentiments pour Faye, développés bien malgré lui. A la sortie de prison de Liam, il sera là, à jouer l'inconnu en présence de Faye et à le soutenir le reste du temps. C'est lui qui lui trouvera un job, c'est lui encore qui l'emmènera draguer des nanas tout en essayant de s'y dérober. Mais leur amitié sera mise à rude épreuve si jamais Jake dévoile ce qu'il éprouve pour Faye. Parce que Liam est protecteur, il veut le meilleur pour elle, elle a déjà trop souffert et à ses yeux, il ne peut pas souffrir de la voir soumise à un ancien taulard, enfermé pour une raison si affreuse qu'il n'a jamais voulu piper mot.
- détails supplémentaires sur jake:
âge: entre 26/33 ans, au choix selon l'avatar. caractère: sombre, peu loquace, torturé, instable, fier, sulfureux, plus vulnérable qu'il n'en a l'air, blessant, sarcastique, colérique, loyal, protecteur, sauvage, cultivé, fils de riche, blessé, brisé, ex-taulard. aimait la littérature et la poésie, les filles de rien et la rue, dorénavant il préfère l'odeur du vice et le goût du sang. il cache de nombreux secrets derrière le mystère de sa silhouette magnétique.
Jake est un gosse de riche déchu (je le vois bien de Washington, mais c'est au choix), le genre à connaître l'opulence et rien d'autre, les détails d'une firme internationale à huit ans et l'absence d'affection dès l'enfance. Mais lui, c'est pas le gosse prodige, c'est le brouillon. L'aîné qui vient avant et qui n'est pas à la hauteur. Des aspirations de son père, principalement, de son milieu, de son nom, de sa réputation. Jake est un doux rêveur, un gosse turbulent qui n'est pas fait pour sa haute tour d'ivoire, le gamin qui rentre les genoux écorchés et ses pantalons preppy inutilisables. C'est un brave môme, le genre gentil, faible comme dira souvent son père. Il a le sourire facile, canaille et des compliments au bord des lèvres. Il porte pas d'armure, ne connaît rien à l'hypocrisie sucrée de son milieu et ignore tout des bonnes manières, des codes et de tout ce que régit une société qui le bouffera tout cru. Son père dira très vite qu'il n'a pas les épaules. Qu'il lui faut un autre fils, un requin, un prêt pour le monde de la finance, les porte-feuilles d'actions, les acquisitions et tout le jargon à la con qui régit le monde d'en haut. Et ce ne sera pas lui, c'est l'évidence. Alors on l'oublie, on le laisse en paix, on le range au placard comme un truc encombrant, un caprice dont on aurait un peu honte. A la place, la bataille s'organise autour de son petit frère, plus malléable. Oliver deviendra la fierté de la dynastie, le vrai fils de son père. En grandissant, les différences entre les deux enfants s'affirment : Jake ne vit que pour le monde d'en bas. Il fume comme un pompier, rôde avec les loups, s'éprend de nanas paumées, sauvages, expérimentées, plus vieilles que lui. Il voit dans la pauvreté une poésie, dans les addictions une beauté. Il est dingue, s'entiche d'une génération gaspillée sur l'autel de la consommation, sans but, sans rien du tout. Il fume, boit et baise comme eux mais ne trouve pas réellement sa place. Le gosse de riche on le tolère de loin, lui pompe son fric mais on l'écoute qu'à moitié. Jake s'en branle, ça lui va. Les loups sont solitaires et lui aussi. Pendant ce temps, loin de sa dérive, son frère brille. Partout, tout le temps. Il est désireux de plaire, il possède déjà tous les travers des gosses de riches désabusés : l'ego assumé, la conviction d'être supérieur, l'insolence propre aux prospères. Il est brillant, travailleur, impliqué, il rêve de la vie de son père, d'un calque parfait, il a conscience de l'importance de sa tâche, de son nom. Jake, lui, s'en détache. Il s'évapore après les cours de littérature appliquée de sa fac huppée sans ses papiers ou son téléphone et revient quand bon lui semble. C'est un soir comme un autre que tout bascule : son frère le traîne à une soirée, lui promettant filles faciles à détrousser et défonce à flots. Jake s'en branle, de ces nanas-là, il est accro à celles d'en bas avec leur maquillage vulgos qui coule de leurs visages de poupée, leurs collants filés et leur façon de baiser décomplexée, libre. Il aime la souffrance, la mélodie des êtres bousillés qui se battent encore. Il aime leur dire qu'il les aime et s'entendre répondre un "ferme-la" éloquent, il aime la poésie qu'elles dégagent, ces figurines brisées qui rêvent d'un ailleurs. Il aime leur fierté, leur côté farouche. Mais Jake le suit. C'est son frère, il l'aime et il lui fait de la peine, au fond. Oliver l'a sauvé de son destin, son destin merdique d'aîné, de canasson aux ordres du patriarche. Ils se perdent, se retrouvent au moment de partir. Oliver est défoncé, ça se voit. Il veut prendre le volant, Jake s'oppose. Ils s'engueulent, il menace de le laisser là au milieu de nulle part alors il finit par céder. Ok. Lui aussi est bourré, pas prêt à conduire mais il cède quand même et grimpe côté passager. Et son frère la percute comme un animal sauvage, cette fille. Ils paniquent, perdent pied. Oliver gerbe, il dégueule sa soirée, ses rêves envolés, ses sacrifices commis pour que dalle et Jake appelle leur père. Il sait pas quoi faire. Lui, sait. Son fils cadet est promis à un brillant avenir alors que l'aîné finira comme prof minable dans une université de seconde zone. Un plouc adulé de ses élèves, un bobo écoeurant, gauchiste parce qu'il ne sait pas ce que c'est que de manquer de fric. Le patriarche lui demande un seul et unique sacrifice : prendre la place de son frère, s'accuser en son nom. Il lui demande ça comme une preuve de son amour, faisant jouer le chantage affectif chez le plus sensible, le plus faible. Il lui promet le meilleur avocat, un jugement clément parce que leur famille impose le respect, intimide par ses connexions. Mais rien ne se passe comme prévu : les jurés sont trop heureux de coincer un sale gosse de riche privilégié et à XX (selon l'âge que vous lui choisissez) piges, voilà qu'il écope de huit ans de taule. Huit années qu'on lui vole alors que ce n'est pas sa croix mais Jake dit rien. Il accuse le coup, par amour, ce sentiment qu'il balance aux quatre vents sans se soucier de la réciprocité, parce qu'il est né ainsi. Il aime ce frère étranger, ce père castrateur, et il pense qu'il survivra. Mais personne ne le peut. Pas sans subir de lourds bouleversements internes. Le gosse de riches clément, bon, sociable et tolérant apprend à s'endurcir, à rendre les coups, à se murer derrière ce que l'homme a de plus sauvage, de pire. Il prend exemple sur les petites frappes qu'il fréquentait dans une autre vie et qui se foutaient de sa gueule de sale bourge. Il en devient une, plus intimidante encore. Ses fréquentations sont sordides à l'exclusion de Liam, au même titre que ses pensées. Quand il sort, Jake est autre. On l'a brisé, lui aussi et apprendre à sa sortie que son propre père l'a renié finit de le corrompre, de le ronger de l'intérieur. Il a donné sa vie, littéralement, pour sa famille et celle-ci n'a même pas la décence de la lui rendre. Il n'a plus rien. Plus de fric, plus de job, plus de foyer, que dalle. Il pourrait dire la vérité mais à quoi bon ? Sa famille sait qu'il n'a pas ça en lui et en cas de doute, ils ont du prendre leurs précautions, graisser des pattes. Alors il se rappelle de la promesse faite à Liam : celle de veiller sur sa petite soeur, lui qui ne le peut plus, dans un bled paumé. Il met quelques temps à la rejoindre, retrouve les bas-fonds des métropoles qu'il aimait tant mais ils n'ont plus la même saveur. Jake ne leur trouve plus aucun panache, il n'a plus d'amis, plus rien, que dalle. Alors il s'enfonce, cherche les emmerdes, les sensations fortes, attise la violence. Il se met à voler, à frapper, à ne baiser qu'avec des nanas dangereuses ou vraiment misérables, le genre à tout accepter, à tout vouloir, comme lui. Il déraille, Jake, a besoin de toujours plus pour ressentir, plus dans le sordide, plus dans la haine, la violence et les mauvais sentiments. Il réfléchit moins, ne lit plus, consomme de plus en plus. C'est Tybee island qui le recadre. Et Faye. Il veut changer, évoluer, retrouver celui qu'il était avant et qui lui paraît bien loin. Cette ville est un point de départ, une guérison, un renouveau mais le chemin est long et les années écoulées ne suffisent pas aux progrès inconstants qu'il esquisse. Jake, c'est le mauvais garçon qui n'a pas choisi de l'être, l'homme pétri de rancoeur, la bile aux lèvres, en colère contre le monde entier. Le renard qui s'imagine loup aux canines acérées mais se rêve chien docile, au sein d'un foyer aimant.
Pardon pour ce terrible pavé j'espère que l'un de ces liens saura te plaire |
| | | petite fleur Invité
| Sujet: Re: [recherche de liens] Mar 23 Mai - 4:22 | |
| |
| | | Reese Reinhart
▪ MEMORIES : 7
| Sujet: Re: [recherche de liens] Mar 23 Mai - 8:41 | |
| @petite fleur, le rôle est toujours d'actualité et je l'attends avec impatience d'ailleurs j'imagine bien theo james, si sa bouille te va |
| | | Hart Ruskin
▪ MEMORIES : 19
| Sujet: Re: [recherche de liens] Mar 23 Mai - 16:24 | |
| C'est re-moi. Je cherche trois personnes pour compléter le joli bordel qui se dessine dans ma tête. Hart compris, les quatre personnages ci-dessous se connaissent depuis toujours pour ainsi dire. Tous originaire de l'île, ils faisaient partie de la même promotion au lycée. S'ils n'étaient pas tous forcément amis (parfois plutôt le contraire), ils restaient néanmoins intimement liés les uns aux autres. Bien évidemment, les années sont passées et les relations se sont étiolées (à différents degrés selon). Ils se retrouvent aujourd'hui dans un retournement du destin pour le moins inattendu. (réservée) Scarlet Finch - Scarlet n'a jamais été d'un naturel jaloux. A vrai dire, elle prend fierté dans le fait que les actes des autres ont toujours glissé sur la carapace de son indifférence. Alors, vraiment, elle est incapable d'expliquer son comportement. C'était probablement la vodka-cranberry de trop (et les deux autres qui l'ont rapidement suivie). C'était la longue semaine et son boss qui trouve systématiquement de nouvelles astuces pour la faire voir rouge. C'était le dernier commentaire en date de Jake Tronche-de-Cake (Putain, Scar, t'en a jamais marre de jouer à la reine des glaces ? T'es si frigide que je suis littéralement entrain de me le geler). C'était sa mère et son habitude hautement corrosive de lui rappeler qu'elle a maintenant passé le cap des trente ans et qu'elle n'est toujours pas prête de se faire passer la bague au doigts alors que, bordel, c'est le vingt-et-unième siècle et elle n'a pas besoin d'être pendue au bras d'un mec pour exister. C'était un cailloux en particulier à la taille grossièrement obscène qui la fout en rogne, et pas seulement parce que les goûts de celui qui l'a offerte sont visiblement toujours aussi affolement douteux. Non, ce goujat de Freddie Knox a osé lui piquer son amie d'enfance, comme si la rendre l'idiote la plus cocue de Tybee n'avait pas suffit. Des semaines après l'annonce, l'idée que Pippa et Freddie puissent s'unir par les liens sacrés du mariage lui donne toujours l'impression d'avoir un poignard logé entre les côtes. Pire que la douleur en elle-même, c'est cette horrible sensation d'être couverte de sang comme l'étendard son humiliation imprimée sur sa peau, que tout le monde puisse voir à quel point la situation la blesse véritablement. Elle ne pouvait pas regarder Pippa, entourée par les autres convives de la bridal shower sans penser : traîtresse, tu étais supposée être mon amie. Alors, elle a laissé échapper la pire ânerie qui a jamais passé le seuil de ses lippes écarlates. Je vais me marier, moi aussi. Après tout, que pouvait être un petit mensonge de rien du tout dans une vie entièrement bâtie sur l'honnêteté et l'intégrité ? Freddie ment comme il respire, lui, et ne s'en sort manifestement pas trop mal. Le lendemain, alors invitée au fameux barbecue Finch-cross-Ruskin mensuel, Scarlet ne peut s'empêcher de penser que Hart fucking Ruskin ferait un parfait fiancé factice, même si la prospective de partager sa compagnie outre le stricte nécessaire lui donne envie de recracher son rosé sur la nappe immaculée. Ce n'est pas seulement le pedigree impeccable, c'est avant tout les liens affectifs qui l'unissent aux futurs mariés qui font de lui le candidat idéal. Elle en est certaine, l'annonce de ce mariage l'enchante tout autant qu'elle. Un instant, Ruskin, faut qu'on parle. Leurs mères sauteraient de joie. Elles l'ont prévu depuis qu'elles ont appris qu'elles étaient enceintes en même temps, l'une d'une fille et l'autre d'un garçon. Les noms de leurs futurs petits-enfants ont été choisis avant que Scarlet et Hart n'aient atteint l'âge avancé de dix ans. Pourtant, ils ne se sont jamais entendu. Scarlet abhorre Ruskin depuis les bacs à sable, depuis lors déjà la seul à pouvoir lui tenir tête intellectuellement parlant. Son sourire maxwhite d'american golden boy lui file de l'urticaire, le timbre soyeux et lustré de sa voix lui donne envie de s'arracher les tympans, ses airs de monsieur-je-sais-tout la prennent à contre-poil. Ruskin, c'est une façade parfaitement lisse qu'elle se ferait un plaisir de réduire en lambeaux à coups de griffes affûtées. Elle pourrait cependant faire l'effort de le supporter, juste pour voir la réaction de Pippa et Freddie. Et puis, ce n'est pas comme si elle allait réellement épouser Ruskin. Elle ne tomberait jamais si bas. C'est juste une blague. Juste une putain de blague. Comment cela pourrait-il mal tourner ? (tentée) Pippa Fitzroy - Pippa a une conscience assez aiguë de sa propre personne pour, sans trop de peine, avouer qu'elle est un vrai petit cœur d'artichaut. Quand elle a subitement senti son palpitant s'emballer pour Freddie Knox - et après s'est consciencieusement demandé ce qui pouvait bien clocher chez elle - elle a patiemment attendu que son cerveau la délivre des griffes du don juan en lui criant "fausse alerte". Et pourtant, plus de temps elle passait avec lui, plus la délicieuse effervescence de ses atomes se répandait en crescendo sur chaque parcelle de son corps comme une traînée de poudre. Un sentiment familier qui réussissait à la mettre dans tous ses états, un cocon confortable dans lequel elle se laisserait volontiers asphyxier. Elle a toujours imaginé Freddie comme une flaque d'eau superficielle. La vérité est toute autre autre puisqu'elle a en fait découvert en lui un océan sans fond, fauve et insoumis. Dieu sait qu'elle ne peut pas résister à un joli garçon avec un sourire triste. Elle veut bien aller piquer une tête, Pippa, quitte à se faire bouffer par les vagues déchaînées. Par conséquent, forcément, quand un genou tombe au sol et qu'une bague est dégainée, elle dit oui, oui, oui!, naturellement et sans retenue aucune. Parce qu'elle est vachement heureuse, Pippa. Et puis, depuis qu'elle respire Freddie par tous les pores, elle a quasiment arrêté de penser à Hart et comment leur histoire n'aura jamais le dénouement, qui à défaut d'être celui qu'elle préfère marquera la fin d'un tumulte qui dure depuis fort longtemps, qu'elle a toujours attendu. Entre eux, c'est la tragédie du presque, mais pas assez. C'est infailliblement le mauvais endroit ou le mauvais moment ou les deux, des sentiments distincts mais maladroits qu'ils ont toujours eu du mal à exprimer. Quand la comparaison s'impose à elle, avec Freddie, c'est avec venu avec l'aisance fatale des instincts, la patte immanquable du destin qui suit son cours, comme si elle se trouve finalement là où elle devait être. Une ombre entache de la tableau idyllique, Scarlet, sa meilleure amie d'enfance. Pippa a le souvenir encore clair des nuits blanches qu'elles avaient toutes les deux passer à maudire Freddie et à faire une liste exhaustive de tous les jeux de mots possibles avec son nom et les insultes les plus colorées de leurs vocabulaires quand sa tromperie a éclaté au grand jour. C'était le lycée, toutefois, et Pippa a l'impression que des millions d'années se sont écoulées depuis ces temps-là. Scarlet ne pourrait pas toujours en vouloir à Freddie, pas vrai ? Elle ne pourrait pas lui en vouloir à elle ? Scarlet n'a pas semblé sourciller à l'annonce des fiançailles de Freddie et Pippa et les a congratulés cordialement. Mais la proclamation qui a suivit les félicitations s'est ressentie comme une gifle sur la joue tendre de Pippa. Scarlet et Hart ? Dans quel univers alternatif ? Oh, c'est ça que que ça fait, elle suppose. (tenté) Freddie Knox - Freddie est le protagoniste principal dans le film de sa vie. Où qu'il aille, les regards le suivent, un auditoire persistant et admiratif qui n'est pas sans lui déplaire. Né pour triompher sous le feu des projecteurs, ça n'étonne personne quand il avoue avoir été le quarterback de l'équipe de football de son lycée ainsi que le roi de la promo. Raclant les bénéfices d'une existence facile où tout lui est tendu sur un beau plateau d'argent, les filles, au même titre que tout le reste, accourent dans ses bras comme si c'était le seul endroit où elles pourraient désirer être. Scarlet est la première à changer la donne. Elle a une moue blasée collée à son joli minois chaque fois qu'il se pavane dans les couloirs du lycée et sort les crocs chaque fois qu'il lui propose de faire un tour dans sa décapotable. Freddie se donne rapidement pour objectif de changer la tigresse farouche en chaton docile ronronnant dans ses bras. Et c'est chose faite, car, après tout, Scarlet n'est qu'humaine, comment résister au charme olympien de Freddie ? Pendant un un moment, a marche plutôt bien. Elle a ce truc indescriptible qui fait qu'il est constamment maintenu sur ses gardes et il adore ça. Seulement, les sentiments (oh!) commencent à croître et réveillent des insécurités insoupçonnées que Freddie ne sait pas comment gérer. Dans cette fâcheuse tendance qu'il a de tout faire inéluctablement foirer, il choisit naturellement la pire manière d'y faire face : la tromper à tout vas. Il ne faut pas longtemps pour que la vérité se manifeste sous la forme d'une horde de filles furibondes, Scarlet meneuse de la danse. C'est un peu comme ça qu'il vit les années de sa vingtaines, carpe diem pour seul mot d'ordre. Tout le monde est sur le point de recevoir une promotion décisive alors qu'il sur le point de... recracher les vices de la soirée de la veille ? Chez Freddie, la prise de conscience vient assez tard quand l'annonce fracassante du cancer de sa mère chamboule intégralement son existence. La vie est de toutes évidence royalement fugace et il gâche la sienne. Et puis, Pippa apparaît comme un phare dans la nuit qui l'empêcherait d'aller s'écraser contre les rochers. Doucement, elle panse ses blessures et l'aide à donner un vrai sens à son existence. Raide dingue d'elle, il la demande en mariage sans hésiter. Pippa, c'est la première chose dans sa vie qu'il fait bien. Pas un instant il ne pense à Hart, son vieil ami. S'ils se sont considérablement perdu de vue récemment, il fut un temps où les deux garçons étaient aussi liés que les doigts de la main, une amitié vache mais solide. Freddie, il sait pertinemment bien qu'entre Hart et Pippa il y avait quelque chose. Pas énormément, mais quelque chose quand même. Mais si Pippa a été la presque-petite-amie de Hart, Scarlet a été la vraie petite-amie de Freddie. Alors, quand il apprend les fiançailles de Scarlet et Hart, c'est une claire infraction du bro code (contrairement à la sienne qui est seulement ambiguë). Tout ce que Freddie sait, c'est que s'il doit encore entendre parler de Perfect Hart avec sa petite vie parfaite parfaitement rangé, il va parfaitement gerber. Si vous être arrivés au bout des pavés monstres, je vous en suis déjà bien reconnaissante. En tous cas, je suis bien entendu dispo pour toutes questions, suggestions exclamations - tout ce que vous voudrez. Les pseudos sont là à titres indicatifs et autrement entièrement libres. J'ai quelques idées d'avatars qui correspondraient bien à l'idée que je me fais des personnages mais je préfère ne rien mettre pour vous laisser vous les imaginer au mieux. Rp démentiels garantis si vous prenez l'un de ces joyeux lurons. @lolise, je peux te proposer la famille Hart, si ça te dit ? En tous cas, je me porte volontaire pour un lien, j'aime beaucoup l'ébauche. |
| | | sos fille fragile Invité
| Sujet: Re: [recherche de liens] Mar 23 Mai - 17:32 | |
| bonjouuuuur z'êtes vicieux à apparaître comme ça, vous et ce beau forum, je suis censée bosser mais je fais comment maintenant ? breeeeef, j'ai craqué donc #fragilité, plus précisément sur scarlett, proposée par hart ci-dessus (btw cette plume fdjkfdjskfdjs ), du coup, je voulais bien savoir à qui tu avais pensé/si tu avais une préférence pour l'avatar, histoire que je ramène mes fesses illico presto ? aussi, si jamais quelqu'un cherche une soeur, une chieuse comme amie/ennemie/collègue/voisine/ce que vous voulez, je suis (bientôt) là merci d'avance |
| | | Oscar Huxley
▪ MEMORIES : 2
| | | | Meera Halstead
▪ MEMORIES : 110
| TENERIFE SEA adress book: availability:
| | | | Oscar Huxley
▪ MEMORIES : 2
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| Sujet: Re: [recherche de liens] | |
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